لسلام عليكم وشكرا للجميع
Chers compatriotes
Avant toutes choses, je vous assure qu'ils n'existent pas de délais théoriques ni dans les lexiques des procédés et procédures ni dans les tous probables scénarios de livraison d'une commande.
Il se peut que, pour des raisons d'exploitation urgente, et afin d'user d'une ou plusieurs parties de la commande, l'administration optimise le délai de livraison et fixe une date butoir pour l'achèvement de la dite commande.
Néanmoins, cette date butoir contenue obligatoirement dans le C.charges peut non seulement constituer le délai d'engagement contractuel (imparti), mais pourrait aussi être la marge concurrentielle de toutes nouvelles propositions en matière de délai.
Par ailleurs, le bureau d'études (comme sa mission l'indique) n'a pas à proposer ou à déterminer un délai d'achèvement ou de livraison d'une commande donnée. Il peut seulement exprimer un besoin circonstancié ou exigé par le client.
Car le délai (imparti) ici est par définition (processus de produire un engagement que doit assumer une entreprise).
Le B.e.t (Certes) peut, excellemment, faire une analyse critique des délais impartis issue des procédés ou des méthodologies proposées par des partenaires avec leurs propre productivités, rentabilités et le type de moyens et ateliers qui différent , et peut aussi, fidèlement et avec exactitude, mettre en claire l'impact sur les objectifs attendus et fixés dans le C.Charges.
Quelqu’un dira que le moyen théorique arrêté dans le cahiers de charges pourrait servir pour fixer un délai, alors que sans les méthodologies, les procédés et les procédures , le degré de productivités , rentabilités des moyens d’attaque , et les circonstances le nombre et l’intensité des ateliers , sont toutes à supposer et à proposer pour aboutir à un temps de parcours qui est le délai.
Il peut fixer des intervalles de manœuvre selon des suppositions techniques valables, mais de ne pas tenter à supposer un délai théorique car cela ne fait que limiter les possibilités a la création et aveugler les avantages et les préférences que peut ramener le pouvoir concurrentiel.
A noter que même si la technique est exigée dans le cahier des charges, mais tenant compte des chemins criques supposés auparavant tel que les coffrages et décoffrage de certains ouvrages en béton ont été tous, au jour d’aujourd’hui , optimisés au moins à trois semaines ce qui est faussé par la créativité imparti des procédés et qui est rendu devant la créativité accélérée des procédés à moins 24 heures .
De temps que Le partenaire économique avant de constituer son offre, usant de son expérience et de pouvoir à la conception, se pose d'abord deux questions pour avoir deux réponses caractérisant, par la suite , son engagement :
-Question (1): comment et quels seront les étapes à suivre ?
-Question(2) : par quels moyens
- Réponse (1) : quand est ce que j'ai y arriverai
- Réponse (2) : combien cela va coûter
Disant, enfin que le comment, les moyens qui caractérisent tous l'offre technique ,désignent en fin de compte le temps nécessaire du parcours.
De ce fait le délai ainsi caractérisé et proposé n'est, en fin de compte que l'offre technique proprement dite.
Et que le coût, ainsi désigné, n'est que l'offre financière proprement dite.
Ce qui nous permet à conclure que la non déposition du délai dans l'offre globale fausse catégoriquement l'engagement ainsi formulé et rend le pli technique fragile et inadéquat.
Aussi, que se soit par omission ou par négligence, le partenaire qui signe et paraphe la Clause (lu est approuvé) exigée, à la fin de sa soumission, et qui signe son engagement officiel en laissant vierge et intacte la case du délai, dûment être renseignée, son offre ne pourrait être élue est entendue comme conforme à l'essentiel exigé.
Si c'était la non signature de la dite clause (lu est approuvé) qui est constatée au lieu de n'avoir pas joint et donné un délai de réalisation, la non conformité de l'offre aurait pu être directement et sans aucune attente, signalée et marquée même si le cahier des charges ne l'aborde.
Et qu'en cas d'élection de telle offre ou de tel partenaire, si on peut se tolérer de passer sur tout ce qui est inconcevable, l'attribution provisoire sera-t-elle aussi publiée incomplète sans aucun délai ? comme l’exige l’article 49 ou elle sera notre dernier ange dénonçant l’évidence de fait.
Ou peut être, nous aurons la bravoure pour rajouter et imposer un résultat non concurrentiel et non issu de la proposition de l'offre en question.
Et que dans les deux cas l'attribution se rend informelle, incomplète et inconcevable.
والختام سلام